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Acheter son logement : une priorité pour les jeunes de 20 à 30 ans qui rêvent de devenir propriétaire

En France, beaucoup de jeunes rêvent de devenir propriétaire. Une priorité visant avant tout à répondre à un besoin de sécurité. Quant à la typologie de logements souhaités, 60 % des 20/30 ans revendiquent une préférence pour le logement neuf.

Publié le 01/27/2021

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Devenir propriétaire

Toujours très attachés à la pierre, les jeunes rêvent de devenir propriétaire de leur logement, d’abord pour répondre à un fort besoin de sécurité, selon l’étude menée conjointement par FPI et Deloitte intitulée « la jeune génération et le logement neuf ». Ils considèrent, en effet, l’acquisition de leur résidence principale comme une priorité dans un contexte social et économique incertain. 

Et, une majorité d’entre eux manifeste une préférence marquée pour le logement neuf, pour des critères de confort et de qualité, l’absence de travaux, et la possibilité de le personnaliser. Quels sont les critères de choix des jeunes au moment de sélectionner leur bien immobilier neuf ? Le confinement a-t-il modifié leur vision du logement idéal ? Explications.

La jeune génération très attachée à la propriété immobilière

Premier enseignement de l’étude menée sur les jeunes et le logement neuf : l’achat d’un logement constitue une priorité pour les 20-30 ans. 94 % des jeunes interrogés placent l’acquisition d’un logement en dépense prioritaire. Si une majorité d’entre eux sont locataires, c’est avant tout pour des raisons économiques, et non par idéologie.

Devenir propriétaire : un moyen de satisfaire un besoin de sécurité

Si les Français sont réputés pour leur attachement à la pierre, celui-ci est intergénérationnel, les jeunes ne faisant pas exception à la règle. Les jeunes actifs et étudiants aspirent comme leurs parents à devenir propriétaire de leur résidence principale. Le besoin de sécurité motive cet intérêt, devant les notions d’investissement ou de marque de réussite sociale. 

Face à un contexte socio-économique très incertain voire anxiogène (mobilité professionnelle accrue, évolution rapide du marché du travail…), empreint de précarité et de hausse du chômage depuis 2008, les jeunes Français expriment avant tout le besoin d’être rassurés. La propriété apparaît comme un instrument privilégié pour sécuriser l’avenir, une vision totalement en phase avec l’idée de l’immobilier « valeur refuge » véhiculée par la génération précédente.

60 % des jeunes préfèrent le neuf

Si les jeunes démontrent une sensibilité aux enjeux environnementaux, au recyclage et à l’économie circulaire, quand il s’agit d’immobilier, le neuf remporte une large adhésion. Toujours selon cette étude, 60 % des jeunes préfèrent acheter un logement neuf, au détriment d’un bien ancien. 

Les trois principales raisons évoquées sont :

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Immobilier neuf

  • Le confort et la qualité : agencement optimal des espaces, confort thermique et acoustique
  • L’absence de travaux à réaliser à l’entrée dans les lieux : par souci budgétaire, mais aussi dans une démarche de simplification, les jeunes veulent du neuf pour éviter d’avoir à se préoccuper de la réalisation de travaux à la fois dans leur logement et au sein des espaces collectifs (ravalement de la façade, parties communes…).
  • Les options de personnalisation : les jeunes souhaitent posséder un logement qui réponde parfaitement à leurs envies et à leurs besoins. Le neuf leur donne cette opportunité, favorisée par les outils de projection innovants proposés par les promoteurs sur leurs plateformes numériques.

Une tendance renforcée par le confinement

L’engouement pour le neuf s’est accentué depuis la crise sanitaire liée à la pandémie Covid-19 et au premier confinement. En effet, 36 % des jeunes interrogés se tourneraient davantage vers le neuf et 63 % d’entre eux affirment que le confinement a mis en lumière les avantages du logement neuf, en premier lieu le confort et l’isolation phonique. Les facteurs liés au télétravail comme la connectivité sont relégués au second plan, la qualité de vie primant sur la continuité de l’activité professionnelle.

L’idéal des jeunes : une maison neuve dans une ville moyenne

Les jeunes sélectionnent un bien immobilier en fonction de critères classiques, à savoir le prix et la localisation. Disposant d’un budget contraint, les potentiels acquéreurs s’attardent d’abord sur le coût, recherchant un logement proposé à un prix abordable. Ensuite, la majorité d’entre eux regardent la localisation (avant la superficie du logement). Point d’entrée de leur quête du bien idéal, l’emplacement de l’appartement neuf ou de la maison neuve constitue un élément déterminant dans la décision d’achat. 

En synthèse, ce sont d’abord les attributs très concrets du logement comme le prix, le respect de l’environnement, la sécurisation du logement, l’accessibilité, la surface, qui priment sur des éléments liés au confort, comme la luminosité, l’orientation…

Considérant l’accès au logement comme un signe d’indépendance, les jeunes cultivent une vision idéalisée du logement. Leur rêve immobilier : une maison neuve individuelle (73 %) située dans une ville de taille moyenne (+ de 10 000 habitants). Peu enclins à faire des concessions, les jeunes se montrent exigeants sur la localisation du logement, qu’ils veulent à la fois proche du lieu de travail, des transports en commun, de la nature et des commerces.

Environnement, mixité, solidarité : ces valeurs montantes chez les jeunes

En matière d’habitat, les jeunes se montrent globalement sensibles aux enjeux environnementaux, qu’ils prennent d’abord en compte sous l’angle de l’énergie. Ainsi, la jeune génération cherche un logement consommant peu d’énergie, à la fois au moment de la construction et dans son utilisation quotidienne, et permettant l’autopartage (sans places de stationnement). Les jeunes se montrent soucieux de la maîtrise des charges permise grâce à la production d’énergie. 

Contrairement à leurs aînés, 74 % des jeunes voient la mixité sociale comme une opportunité. Ils estiment que la ville se doit d’être accessible à toutes les catégories de personnes, et un lieu propice aux mélanges d’individus de divers horizons. Considérée comme le socle d’une meilleure cohésion sociale, la mixité dans l’espace urbain sonne pour eux comme une évidence. 

Affirmant l’importance de la solidarité, les jeunes se disent prêts à partager ce qui ne relève pas de l’intimité au sein d’espaces collectifs (potager urbain, salle de sport, cuisine, buanderie, lieux de convivialité…). Décloisonner l’habitat, mutualiser les services… Les jeunes revendiquent leur volonté de voir émerger un habitat vecteur de sens et de lien social.